Produits capillaires vegan et bio guide pratique d’utilisation

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Vous aimeriez commencer à utiliser des produits capillaires naturels, BIO, vegan et éco-responsables, mais vous ne savez pas par où commencer ? Ne vous inquiétez pas, nous nous en occupons : dans ce guide, vous trouverez toutes les informations nécessaires pour passer au « bio » sans traumatisme.

Votre routine de soins capillaires a toujours été simple on ne peut plus simple : shampoing, après-shampooing et masque (si on veut vraiment exagérer) achetés au supermarché lors des courses hebdomadaires, peut-être choisis uniquement sur la base du parfum ou de l’envoûtant écrits sur l’emballage. Puis, cependant, elle est venue, cette amie qui vous a conseillé de sortir de votre zone de confort et d’opter pour des produits capillaires plus naturels, vaseline et parabènes, mais aussi végétaliens et sans cruauté.

D’excellents conseils, certes, mais comment choisir les bons produits et, surtout, comment les utiliser ? On vous l’explique dans ce guide, êtes-vous prêt à prendre des notes ?

De la théorie à la pratique : comment s’utilisent les shampoings éco-bio ?

Pas de mousse, peu de mousse

Une fois qu’on a identifié le produit « bio » adapté à notre type de cheveux, il faut comprendre comment l’utiliser : tout d’abord, gardez à l’esprit que, à de rares exceptions près, les shampoings naturels moussent moins que les traditionnels, mais cela ne veut pas dire que leur pouvoir lessivant est mineur. N’ayons donc pas peur, si sous la douche on a l’impression de se masser les cheveux uniquement avec de l’eau, c’est tout à fait normal ! La raison de cette différence par rapport aux shampoings traditionnels réside dans les différents types de tensioactifs  (c’est-à-dire les substances « lavantes » des cosmétiques) utilisés dans les formulations bio, qui sont décidément moins agressifs et parfois même « curatifs » sur les cheveux.

Le secret

Le secret pour obtenir plus de mousse consiste à diluer le shampooing : mélanger un peu de produit avec deux ou trois parties d’eau dans un récipient à épandage ou un verre, avec deux ou trois volumes d’eau, bien agiter et répartir sur toute la tête en massant longuement.

Cette opération peut également aider dans le cas d’un shampoing à la consistance particulièrement épaisse, sinon difficile à répartir uniformément sur la peau. Le mot d’ordre, en tout cas, est  » expérimenter  » : il n’est pas dit que la dilution soit nécessaire pour chaque produit, que cette proportion entre shampoing et eau soit toujours valable ou que le premier shampoing naturel que nous essayons soit celui qui nous convient.

Traitements d’hydratation et post-shampooing

À la lumière de ce qui précède, il est facile de comprendre que nos cheveux auront besoin d’une dose supplémentaire d’hydratation, en particulier pendant la « phase critique » initiale. Foncez donc sur les après-shampooings et masques bio, à choisir avec les mêmes critères que le shampoing et à répartir abondamment sur les longueurs à chaque lavage.

Pack d’huile capillaire

Le mieux est d’appliquer l’huile et de la laisser agir 20/30 minutes,  toujours sur cheveux humides ou encore mieux mouillés : appliquer une huile sur une peau ou des cheveux secs aurait en effet tendance à les assécher davantage plutôt qu’à les hydrater. Si vous avez du temps à disposition, une fois par semaine il serait bon de laisser agir l’huile sur les longueurs pendant au moins une heure : un soin « choc » utile en cas de cheveux particulièrement secs et cassants. Il faut ensuite procéder au lavage normal, en insistant sur les longueurs pour éliminer tout résidu d’huile, et le tour est joué. Attention toutefois à l’utilisation d’huiles en cas de cheveux teints : la couleur pourrait s’estomper facilement.

 

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